J'ai joui...

14 mai 2006

Aujourd'hui seulement j'ai refait un peu surface. Ma séance de massage ce matin m'a fait d'ailleurs un bien terrible. Hier j'étais, toute la journée, dans un état second oscillant entre le bien-être d'avoir passé autant de temps avec toi et le regret que ce soit déjà fini. Déjà dans l'attente de la prochaine fois où je serai avec toi. Le 23 soit dans 10 jours.

C'était si bien mon amour tous les deux. Des moments parfaits sans aucune ombre que nous avons vécu à l'unisson.
Et j'ai joui, joui, joui...
Encore et encore... A en mourir de plaisir...
J'ai joui, de la cravache dont tu as flagellé mon dos, mes reins, mes cuisses. De si nombreuses fois que nous en avons perdu le compte. Au moins 200 fois m'as-tu dit. Comme la dernière fois, mon corps n'en a gardé aucune trace visible sur lui. Pourtant j'en ressens encore la brûlure intense qui m'a emportée hors de moi si loin. Si forte à un moment que je me suis affolée, que je me suis débattue dans mes liens.
J'ai joui de ta main qui cette fois presque toute entière a investi mon cul ouvert pour toi. J'ai joui de cette béance. De tes doigts que je sentais bouger en moi. Au fond de mon ventre. Caresse d'une extraordinaire intimité qui a aboli toute distance entre nous.
J'ai joui de tes doigts qui m'ont caressée si longtemps que le plaisir s'est transformé en douleur avant de m'emporter dans un formidable orgasme.
J'ai joui quand j'ai léché et me suis délectée de ta semence répandu sur ton ventre. Je t'ai léché partout. Jusqu'aux couilles que j'ai pris dans ma bouche. Jusqu'à ton cul où j'ai enfonçé ma langue bien tendue. Jusqu'à tes pieds.
J'ai joui d'être ta chienne. D'être ta truie. J'ai joui de cette humiliation qui me fait perdre jusqu'à l'idée de ce que je suis, de qui je suis pour devenir ton animal. Domptée. Soumise.