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A toi au jour le jour
30 août 2006

2 x 250 = 500g

Il semblerait que le récit de nos délires intéressent certain et certaine de passage sur le blog. Alors pour satisfaire leur curiosté (que quoique j'en dise je n'ai jamais considéré comme un défaut, bien au contraire) et aussi, et surtout, parce que c'est ce que tu attends de moi, mon Maître voici le récit détaillé de la journée que tu m'as fait vivre.

Comme tu l'as si bien pressenti en me laissant hier la liberté de décider combien j'allais suspendre à mes lèvres, toute la matinée j'ai hésité. Trop lourd, et j'avais peur de ne pas pouvoir supporter les poids aussi longtemps que je le désirais. Trop léger, je me serais sentie frustrée. J'ai donc opté pour une solution intermédiaire. Je me suis rappelée que ton objectif était que j'atteigne 250 g. C'est vrai que cela est un peu moins de ce que tu as suspendu à mes lèvres la semaine dernière (300g) mais, justement, plus facilement supportable sur la durée, du moins c'est ce qu'il me semblait.

Donc à midi trente, ainsi que tu me l'as demandé, j'ai commencé par emplir mon cul du rosebud (435 g) puis j'ai accroché à l'aide des mousquetons à chacune de mes lèvres 250g. C'est donc de 935 g que je me suis trouvée lestée. Mon maître, si tu savais comme cela m'a semblé lourd. Beaucoup plus lourd que ce que j'escomptais. Et je me suis demandée si je pourrai tenir au moins jusqu'à 14h, heure à laquelle tu m'avais permis de me masturber. Bien évidemment, comme à chaque fois, où je me trouve dans ces situations et où il me devient sinon pénible du moins malaisé de me déplacer avec facilité, il y a eu un certain nombre de clients qui sont entrés dans la boutique et que j'ai dû servir le feu entre les cuisses et le visage lisse.

A la sensation d'étirement qui me donnait l'impression que mes lèvres allait se fendre s'est lentement superposée une sensation de brûlure. D'abord tenue. A peine perceptible. Mais qui, insensiblement, a augmenté d'intensité. Et il n'était encore que 13h15!
Je suis alors allée m'installer dans l'arrière boutique. Assise sur la chaise qui y est disposée, jambes largement écartées, c'est encore la position la moins inconfortable dans ce genre de situation. D'autant qu'assise ainsi, les fesses au bord de la chaise, je sens le rosebud s'enfoncer profondément dans mon cul et prendre toute la place. Seul inconvénient, loin d'atténuer mon désir, cette position l'exacerbe. A un moment donné, toute à ma rêverie (dans ma tête je repassais le film de certaines des choses que nous avions faites la semaine dernière), mes doigts se sont machinalement posés sur mon sexe distendu par les poids. A peine un effleurement mon Maître, que j'ai vite réprimé. En fait, ce qui m'a ramené à la réalité, c'est de ne pas trouver mon clitoris à sa place habituelle. Je m'explique: d'habitude, mon cher petit clitoris adoré affleure entre la fente de mes lèvres, mais là elles étaient tellement étirées que j'ai eu l'impression que je l'avais perdu. Angoisse éphémère! Et il a fallu que j'enfouisse mes doigts au creux de mon sexe pour le retrouver. Soulagement! Mais promis, mon Maître, les choses en sont restés là puisqu'il n'était pas 14h.

J'y étais presque quand j'ai vu arriver une de mes amies. Impossible bien sûr de lui dire de s'en aller sous prétexte que j'étais sur le point de me mastuber! Ce ne sont vraiment pas des choses qui se disent.... du moins pas avec cette amie-là. Nous avons donc bavardé. De tout, de rien.... de toi mon amour bien sûr, de nous... le tout agrémenté de quelques clients.
Ah! la difficulté si tu savais de garder un visage serein et une démarche dégagée alors que je sentais un incendie se déclencher entre mes jambes et augmenter d'intensité de minutes en minutes. C'est là, que j'ai commencé à avoir vraiment mal. Chaque mouvement me devenait insupportable. Chaque pas, une torture. Comme si mon sexe était transpercé par une myriade de fines aiguilles chauffées à blanc.

Quand enfin je me suis retrouvée seule, il était presque 15h! Inutile de te dire que je me suis de nouveau précipitée dans l'arrière-boutique où, enfin, j'ai pu donner libre cours à ma frénésie de caresses. C'était si bon de jouir  en pensant à toi, mon amour, si emplie de ta présence....

A 15h15, mon corps avait retrouvé, comblé, son calme. Je dois te confesser que c'est avec soulagement que je me suis délestée de mon pesant appareillage. Pour le rosebud, il a glissé tout seul hors de moi, preuve, mon Maître, que mon cul a retrouvé, tu seras content, toute son élasticité. (Extraordinaire quand même l'influence  du cérébral sur les réactions du corps, l'ouvrant ou le refermant à volonté selon les circonstances....)

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Commentaires
V
que votre récit a profondément satisfaite, si j'ose dire...Merci pour ce récit qui m'inspire des sensations contradictoires.
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