Epreuve 14
Mail du 22/07
Epreuve 14 = Punition de Lundi
Je pense que l’heure est venue de te donner ta punition de Lundi. En plus, ça va te faire languir et sûrement t’exciter pendant 2 jours.
Tu te procureras de la petite ficelle, ou du ruban, ou des fils élastiques (au choix). Tu en feras 2 morceaux. Après ton café de Lundi matin, tu passeras chacun d’eux dans chaque anneau de tes lèvres. Tu attacheras ces liens autour de tes cuisses en les tendant suffisamment pour que ça t’écarte la vulve. Tu garderas cet équipement jusqu’à midi en décrivant tes sensations par mail tout au long de la matinée (je les lirai le soir).
Si tu as trop ou pas assez tendu les liens, tu as droit à 2 (pas plus) reréglages dans la matinée.
Bon courage ma chienne. Et sois patiente on n’est pas encore lundi !
Je t’aime.
PS : je me demande si prochainement, je ne te ferais pas percer les petites lèvres.
En fait je n'ai pu résister à la tentation et c'est avant même de partir de la maison que j'ai noué autour de mes cuisses le ruban que j'ai passé dans mes anneaux vulvaires. Peut-être que cette précipitatoin me vaudra une nouvelle punition. Tant pis! je prends volontiers le risque.... pour mon plus grand plaisir. Cela m'a permis de t'envoyer dès ce matin les premières photos que tu as peut-être reçu avant de partir. En tout cas je l'espère. Il me plaît de penser que tu songes à moi ma vulve ainsi ouverte et écartée. Complètement offerte. Et puis je dois dire que depuis que j'ai reçu ton mail, je sentais l'impatience grandir en moi. J'aime tellement exécuter ce que tu me demandes qui me donne l'impression que nous sommes ensemble.
Quand j'ai noué le ruban, je me suis dit que cela était assez anodin. Je me suis regardée dans le miroir. Il y avait bien le ruban autour de mes cuisses qui s'enfouissait au creux de mon corps. Mais pas grand chose de plus. Mes lèvres restaient sagement refermées. Et puis j'ai légèrement écarté les jambes et là j'ai senti mes lèvres suivre le mouvement de mes cuisses et s'ouvrir. Largement. Je me suis alors assise face au miroir, jambes largement écartées. Sensation d'étirement. De béance. J'ai observé un moment mon sexe ouvert de manière obscène. Comme une invite à être empli.
Il est maintenant 11h15. Tu m'as téléphoné il y a quelques minutes. Dommage, tu étais parti avant de recevoir les photos. Je crois que tu le regrettes autant que moi, mon amour.
Cela fait 2 heures que mon sexe est maintenu ouvert. Je sens maintenant de façon très sensible la tension que le ruban imprime à mes lèvres. C'est agréable. Même si cela me fait légèrement souffrir. Une douleur diffuse, à peine esquissée qui me met à l'orée du désir. J'aimerais tellement que tu sois là et être prise ainsi par toi.
11h57. Dans 3 minutes, pour suivre tes instructions, je vais devoir dénouer le ruban et libérer ma vulve. Je n'en ai pas envie. Mais je vais le faire bien sûr. Car, je suis une chienne qui quoique faisant preuve d'impatience, est très obéissante à son Maître.