De : Alain
Date : 24/07/2006
07:36:29
A : 'Christine'
Sujet : RE : Réf. :
et demain on remets ça
Patiente, ma chienne
impatiente : 4 jours.
Et puis en fin d’AM au retour, je
t’appelle sur le fixe au magasin (je l’ai même dit a Annie, en lui faisant
remarquer que ces derniers temps toi et moi, on n’avait pas pu trop se
téléphoner).
Dès demain je « valide »
notre rencontre à 4 le soir du vendredi 28
Au fait pas mal le dernier texte
de Rdf en route vers la soumission totale. Ça me donne des idées (ou plutôt, ça
me fait ressurgir des idées). La raison nous incite à laisser cela au rayon des
fantasmes, mais il n’empêche que si je m’écoutais…
« Je
te veux mon esclave. Tu devras être ma chienne, mon animal de compagnie
et ma femelle et tu devras vivre comme telle. Tu devras accepter de n’être rien
que ce que je te permettrai d’être. Tu porteras ma marque définitive et tu
seras annelée aux seins et à la vulve pour m’être plus attachée. Enfin pour
qu’il n’y ait aucune ambiguïté, tu quitteras ton travail actuel et tu
divorceras de Jean. Tu peux réfléchir ou me dire oui tout de suite. Si tu
refuses, nous nous quitterons, si tu acceptes, je t’expliquerai la suite. »
Ce besoin que tu sois encore plus
à moi, totalement à moi, si tu savais…
Bon revenons sur terre.
Je vis dans l’attente du
téléphone de ce soir.
Je t’aime.
De : Alain
Date : 24/07/2006
20:59:33
A : 'Christine'
Sujet : Se parler
Qu’est ce que ça été bon de se
parler pendant presque une heure. J’ai eu l’impression qu’un manque
disparaissait. Et puis, ce besoin de te vouloir toujours plus complètement à
moi, tel une chose un objet, et ton besoin à toi de t’abandonner aussi encore
plus. Tout ça qui correspond parfaitement entre toi et moi. Tous ces fantasmes
toujours plus fous, tes nouveaux piercings possibles. C’était bon de
parler de tout cela.
Je t’aime ma propriété. A demain.
Envoyé : mardi 25 juillet
2006 01:25
À : Alain
Objet : Réf. : Se parler
Oh que oui ça a été bon de
pouvoir enfin nous parler. Il me semblait que cela faisait une éternité
que nous n'avions été aussi proches. Après, je me suis sentie si bien. Le poids
qui m'oppressait s'était évanoui comme par enchantement.
Ce qui est bien c'est que nous
laissions sortir hors de nous nos fantasmes les plus fous, les plus délirants.
Je crois que c'est une bonne chose si nous ne voulons pas qu'ils deviennent
trop obsédants et donc.....
Je t'aime mon Maître